MARS
2003
PAGE
DES JEUNES
Colmar-Muntzenheim
Témoignage n°
1:
Que dire du Groupe de Jeunes (GdJ pour les intimes) ? Pour moi,
c'est un peu comme ma deuxième famille. On se connaît
depuis longtemps, on partage les mêmes moments forts (comme
le nouvel an ! ) et surtout la même foi. Je pense qu'il est vraiment
primordial de consolider ces liens, surtout sachant que nous
sommes l'avenir de la communauté.
Nos activités sont assez variées et la bonne humeur
est toujours au rendez-vous.Le GdJ recharge nos batteries pour
la semaine, nous aide à rester ancrés en Dieu et
à témoigner dans nos études ou notre travail.
Au GdJ, nous sommes tous différents, ceux qui aiment beaucoup
rire (et nous avons de bons spécimens), ceux qui aiment
chanter, etc. Mais ensemble, nous formons un tout, notre foi
grandit.
Si vous aussi, vous avez cette possibilité, saisissez-la
!
Pauline O.
Témoignage
n° 2:
Le GdJ, quelle aventure extraordinaire
! Eh oui, on peut bien parler d'aventure. Au début de
mon aventure (c'est-à-dire il y a 3 ans maintenant), le
GdJ était un groupe de personnes qui se connaissaient
plus ou moins et qui se retrouvaient les samedis soirs. Mais
au fil du temps, des amitiés se sont tissées. Du
coup, maintenant, notre GdJ est un groupe d'amis qui se retrouvent
le week-end, mais aussi beaucoup pendant les vacances. Bref,
c'est tout juste si on se quitte encore !
Le GdJ m'a beaucoup aidée dans ma vie de chrétienne.
Les relations amicales, mais aussi spirituelles m'ont permis
de passer des moments inoubliables avec des amis mais aussi surtout
dans la présence de Dieu. En tant que chrétiens,
c'est une aventure avec Dieu, une route que lui trace pour nous,
un avancement et des pas en sa compagnie.
En tout cas, le GdJ m'apporte beaucoup, plus encore que vous
ne pouvez l'imaginer : la confiance, la joie de se retrouver
ensemble, de mêmes horizons, partageant la même passion
: Dieu. Le bonheur de pouvoir partager nos joies et nos peines,
nos cheminements avec notre Sauveur, prêts à parcourir
ensemble les moments les plus difficiles.
Et vraiment MERCI à Dieu de m'avoir donné la joie
de faire partie du GdJ.
Béatrice B.
Témoignage
n° 3:
Les moments qu'il m'a été
donné de vivre ces derniers temps au GdJ ne sont pas des
moindres parmi les événements qui ont ponctué
ma vie.
Je trouve aujourd'hui dans le GdJ le soutien qui me permet d'avancer
avec Dieu, notre Seigneur. Sans pour autant mettre à l'écart
les moments de détente, nous nous adonnons à des
moments de discussion autour de la Bible. Très riches,
ces derniers nous procurent une nouvelle vitalité, revigorante
pour la semaine....
Jonathan J.
Témoignage
n° 4:
Ce que je voulais exprimer, c'est le lien qui unit le GdJ, car
dans la société dans laquelle nous vivons nous
avons tendance à oublier les vraies valeurs.
D'habitude nous portons plus d'importance à notre avenir,
aux choses incertaines. Alors qu'à côté de
nous se trouve un amour inébranlable : celui de notre
Père. Il nous donne cet amour pour le transmettre à
notre prochain. C'est cet amour que l'on ressent au GdJ.
Un verset pourrait résumer ce bien-être : «
Ah, qu'il est agréable d'être avec nos frères
ensemble » (Psaume 133.1).
Salomé B.
Strasbourg-Sion
Comment se passaient les samedis soirs
il y a plusieurs dizaines d'années ? Sans GdJ, je veux
dire.
...Je sais, c'est dur, mais essayez tout de même d'imaginer.
Probablement que les gens
lisaient, jouaient aux cartes, se parlaient, se recevaient (ça
c'est la version optimiste), ou que nos grands-parents désoeuvrés
tentaient de s'occuper en surveillant la voisine par la fenêtre
de la cuisine. Mais, depuis que le GdJ est apparu dans nos vies,
nous sommes sous «anesthésie locale tous les samedis
soirs. Jugez plutôt :
Le programme 2003 de Sion a débuté mi-janvier,
lors d'une soirée de profond partage sur nos vécus
respectifs des fêtes de Noël et du passage à
la nouvelle année avec un tour d'horizon de nos sujets
de reconnaissance et des «bonnes résolutions»,
l'une d'entre elles étant de ne plus en prendre justement,
histoire d'en tenir enfin une !!! Et puis la traditionnelle galette
des rois est venue départager les prétendant(e)s
à la corvée vaisselle...
Autre fait marquant : nos célèbres « jeux
débiles » seront désormais appelés
«jeuzédélires», ce que les jeunes se
sont bien évidemment empressés d'inaugurer à
l'occasion de leur soirée préparée et animée
par eux-mêmes avec beaucoup d'ingéniosité.
Le mois suivant a vu l'arrivée de la « fête
de la lumière », plus communément appelée
« Chandeleur » ou encore « Fais sauter les
crêpes» ! Avant d'entamer le moment défoule,
en musique. Le rendez-vous était fixé à
Ebersheim souvenez-vous !
Une fois n'est pas coutume, cette chronique
ne fera pas que revenir sur nos petites marottes de ce début
d'année, mais vous propose un concentré de vie
du millésime 2003, et ça me ravit ! Bienvenue dans
le futur !!! en commençant par notre « Soirée
Choco Discute », alias SCD. Alors question : lorsqu'un
débat muet rencontre un bon bol de chocolat chaud, sur
quoi peut bien porter la discussion ? Nous vous donnerons des
nouvelles par notre contact habituel.
Sinon votre passion c'est quoi? Je veux dire en dehors de ces
heures délicieuses que vous passez à ranger vos
cours ou à trier les dossiers de votre adorable patron?
Les siestes? Le jardinage? La belote? Les jeunes de Sion, quant
à eux, ont pour hobby de faire des matchs d'impro. Ce
sera LA soirée tant attendue de ce mois-ci !
«She loves you, yeh, yeh, yeh» Et vous, que pensez-vous
de l'amour ? Rien que du bonheur, quelque chose d'effrayant ou
que des ennuis en perspective Voilà une belle occasion
d'en discuter avec notre pasteur René LAMEY.
Dernière ligne droite avant l'été et après
une mise en forme imposée (comprenez notre participation
au ménage des locaux), une « American Soiry »,
avec menu « Mac Do » à la clé, parce
que s'il y a une chose que les Américains aiment et savent
faire, ce sont les happy ends. Ce sont eux les inventeurs du
concept. Dans les films, ils aiment 2 choses : que les méchants
soient clairement désignés sans qu'on les confonde
avec les héros. Et que le héros, une fois son devoir
accompli, fasse tourner son pistolet dans la main droite avant
de se diriger vers de nouvelles aventures assis sur son fidèle
compagnon, pendant que le soleil se couche à l'horizon
(NDLR : cf. Lucky Luke). Eh bien, à Sion, c'est
pareil ! Récapitulons :
Avant de se quitter, grandes vacances obligent, les Strasbourgeois
iront faire une sortie escalade, une sortie « cyclo »,
une sortie « ciné », une « méga
teck » avant le barbecue final, pour fêter les vacances,
brûler les livres et feuilles de cours en même temps
que les saucisses si on y tient et accueillir les nouveaux catéchumènes
! Cet été, grillons, grillades, huile solaire et
huile d'olive à volonté.
Cécile et Anne.
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